caniveau de drainage de pavage 1

Ce n'est peut-être pas la photo la plus photogénique à inclure dans une étude de cas, mais s'il est vrai qu'une image peint un millier de mots, ce pourrait être l'essai parfait. Elle résume la différence entre Grasscrete et les systèmes préfabriqués qui sont souvent présentés comme des alternatives et, dans certains cas, utilisés, en particulier à Hong Kong.

Dans cet exemple, un canal de drainage de 2,5 km de long, ou nullah comme on l'appelle localement, serpente à travers les villages des Nouveaux Territoires de Hong Kong. Il recueille ainsi les eaux pluviales locales dans le cadre du plan directeur du département des services de drainage du gouvernement de Hong Kong. La courbure impose que la longueur de la pente en haut soit différente de celle en bas. Si l'on positionne un module en fonction de cette différence, des écarts se produiront, d'autant plus que le profil réel de la pente est également variable. Avec le préfabriqué, cela devient un problème car les espaces doivent être remplis de béton ou les blocs eux-mêmes doivent être coupés en onglet, ce qui est pratiquement impossible avec un bloc cellulaire.

Dans le cas d'un profil en torsion, ces travaux supplémentaires peuvent être presque aussi élevés que le coût de l'installation des blocs eux-mêmes. De plus, la pente se retrouve avec une série de panneaux de remplissage qui peuvent créer des turbulences et être à l'origine d'une rupture de la couche d'armure.

Comme le montre cette photo, Grasscrete ne souffre pas de ce problème. Au lieu de cela, les formateurs de vide sont simplement coupés et le panneau est arrangé pour obtenir le meilleur ajustement possible. Lorsque le béton est ensuite coulé, le résultat est une surface ininterrompue sans faiblesse structurelle ni joints inesthétiques.

Ce projet utilise du Grasscrete GC2 de 150 mm d'épaisseur, capable de supporter un débit allant jusqu'à 8 mètres par seconde.